il y a 142 ans commençait une des plus belles pages de notre histoire , et oh combien sanglante; souvent occultée souvent malmenée, alors pensons a toutes ,et tous ceux là dont l'espoir était immense:louise Michel,florence Baruteau,alphonsine Blanchard,léodile Champeix,la grande élisabeth Dmitrieff,marguerite Guerrier,nathalie Lemel,joséphine-marguerite Marchais,paule Mink,eulalie Papavoine,élisabeth Rétiffe,léontine Suetens et tant d'autres,et les hommes , ils sont moins ignorés.....jean baptiste Clément,eugène Pottier,édouard Vaillant,benoit Malon, le bel eugène Varlin, Léo Frankel,Camélinat, et aussi Courbet, le peintre de la commune etc ...etc...
j'en profite pour vous conseiller 2 bouquins:
louis Michel matricule 2182 textes choisis et présentés par Paule Lejeune, et ,
Rouge élisabeth par yvonne singer-lecocq
ne pas oublier celui qui faisait trembler thiers , c'est pour cela qu'il l'a fait arrêter avant!!
L’ombre de Blanqui plane sur la Commune. Si son nom est celui de ceux qui n’en ont pas et représente un grand danger pour les versaillais, il en est le grand absent. Il est emprisonné le 17 mars 1871, la veille de l’insurrection. Il est alors en fuite, loin de Paris, malade, recherché pour sa participation aux émeutes du 31 octobre 1870 à Paris. Thiers se réjouit à l’annonce de son arrestation à Loulié (Lot) : « Enfin, nous tenons le plus scélérat de tous ! » Le lendemain Blanqui est conduit à l’hôpital de Figeac, le jour même où la Commune de Paris est proclamée
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Un rappel salutaire.<br />
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Comme quoi certaines périodes courtes de l'Histoire ont une densité qui laisse des traces durables.<br />
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